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  • Samedi après-midi, je suis montée (c'est comme cela que nous disons à Toulouse, alors qu'en définitive, nous descendons...) au Pas-De-La-Case, en compagnie de mon frère, ma mère et de mon fils cadet. Placée à l'arrière, comme les enfants (Oui, ma mère étant malade en voiture, sur les routes de montagne, je lui cède volontiers cette place tant convoitée par les enfants qui rêvent d'être grand!) D'où j'étais, je pouvais quelques heures, contempler la beauté des paysages, de la nature, des constructions, etc... Et je pouvais aussi m'envoler, rêver et imaginer, me poser des tas et des tas de questions, sur le pourquoi du comment.

    Il y a ce moment, où assise à coté de votre fils que vous aimez plus que tout, mais qui vous saoule par son débit intempestif et hallucinant de paroles. Qui elles, à un certain moment, deviennent comme un bourdonnement, un bruit de fond... Et vous vous imaginez, tenir une télécommande à la main, et appuyer sur « mute » pour enfin savourer la tranquillité ! Alors vous faites semblant de vous endormir, pour espérer qu'il vous singe et vous finissez par vraiment vous endormir... Hop ! Vous vous réveillez et vous pouvez enfin admirer les alentours, dans le silence !

    Mon esprit vogue au dessus des paysages...

    Avez-vous déjà remarqué des objets étranges (dans le sens, où ils n'ont strictement rien à faire à cet endroit), le long des routes ? Nous en rencontrons tous, des poches à emporter Macdo, des bouteilles d'alcool, etc... Nos routes sont considérées, par certains énergumènes, comme des dépotoirs à ordures... En cette après-midi de Samedi, dans un rond-point, j'ai vu une chaussure, pas une paire ! Juste une... Et là, je me suis demandée, comment a-t-elle pu se retrouver là... Une sandale bleu marine, gauche ! Pour répondre à cette interrogation, mon esprit s'est exprimé par diverses voix.

    • Peut-être était-elle tomber de la soute d'un avion, après au long cheminement ! Un trou d'air qui aurait fait basculer une valise trop pleine, qui elle ce serait ouverte par la pression. La sandale aurait glissé jusqu'à sa porte de sortie... Mais cela semble improbable !

    • Ou peut-être qu'un individu aurait eu la flemme de la mettre aux ordures ménagères, ou de l'amener à la déchetterie, alors il l'aurait balancé par la fenêtre, oubliant sa sœur à l'arrière de son véhicule...
    • Ou encore, peut-être qu'en retour de soirée alcoolisée, une personne l'aurait tout simplement jeté par la fenêtre, pour le fun !
    • Et passer par l'impensable, l'accident... Mais dans ce cas là, la Police/Gendarmerie, l'aurait ramassée.

    Mon esprit vogue au dessus des paysages...

    Comme quoi, on s'imagine beaucoup de truc, pour pas grand chose ! Enfin, moi oui.

    Il y a aussi, toutes ces maisons qui nous font rêver ! Ou pas, après raisonnement...

    J'ai vu une maison, enfin j'ai imaginé cette maison, car elle était dissimulée derrière une rangée d'arbres. Tout autour d'elle, il y avait des sapins, des arbres différents les uns des autres et derrière, une forêt...

    Tranquillité assurée, mais quand tu imagines le pire, tout devient moins splendide !

    • La foudre lors d'un orage et vient l'embrasement du bois...

    • Ou, plus gore... Avez-vous vu le film « You're next », une bande de psychopathe envahissant cette jolie demeure bien camouflé aux yeux bienveillants de la route...

    Il y a aussi les maisons en bord de route, et elles aussi présentent des risques. Bref inutile de s'imaginer ailleurs que dans sa propre demeure où l'on se sent bien.

    Pendant le voyage, on rencontre aussi, les nuages qui titillent notre imagination. Un mouton qui court vers le loup, mais qui saute pour l'esquiver. Un crocodile qui sourit, ou une souris qui pleure etc...

    Nous rencontrons des paysages aux milles couleurs qui nous chatouille les sens.

    Mon esprit vogue au dessus des paysages...

    Et viens enfin, les zig zag vers le Pas-De-La-Case !

    Un parking au centre d'une multitude de magasins, 30 minutes de gratuité pour faire ces courses et repartir !

    Revoir le même paysage, à l'envers, mais l'heure du goûter est là. Toute le monde mange des sucreries achetées. La digestion appelle le coup de barre... A l'arrière de notre véhicule, Morphée nous accueille dans ses bras, et abrège le temps du voyage. Et au réveil, c'est l'arrivée !

    Mon esprit vogue au dessus des paysages...


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    Quand la colère délivre l'honnêteté,

    On s’aperçoit vite comment les gens peuvent être fourbe...

    Ce qui me fait rire, c'est quand la colère utilise la bassesse

    pour justifier son mal être.

    Ce que j'affectionne par dessus tout,

    C'est quand quelqu'un essaye de te rabaisser tout en te disant qu'il s'en fou.

    Là, j'ai envie de lui répondre :

    - Si tu t'en fou, pourquoi tu me parles ?

    Et quand justement tu restes silencieuse, car tu t'en fou,

    On (est un con au passage) te dit :

    - Ah je t'ai tellement taillé, que tu ne sais plus quoi répondre !

    Toi Pas Comprendre !


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